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Vie de La Brochure
20 juin 2015

Momméja, le Folk-lore, Jano D'Aymé

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Ceux qui me connaissent ont deviné peut-être que je me prépare à une conférence à Saint-Antonin. Et qu’elle portera sur Jules Momméja qui a su capter dès qu’il est apparu en France, en 1872, la notion de folk-lore (il l’écrivait alors avec un trait d’union).

Parce qu’encore assez jeunes ils sont allés interroger des vieux, René Merle et Claude Sicre m’ont permis, autour des années 1980, de sortir de la version péjorative, en France, du folklore. Avec cultura per avançar ? et l’Americke, deux livres pourtant si différents, la langue d’oc est alors devenue, à mes yeux, le moyen d’accéder à une culture populaire porteuse d’avenir, quand tant d’autres n’y lisaient que la marque du passé.

Claude Sicre a toujours été clair sur ce point : ce qui permet à tout homme de se lever le matin c’est la conscience d’un avenir, d’un futur. Une conscience qui peut prendre la forme du carriérisme autant que la forme de l’humanisme.  Et le titre du livre de Merle était clair : Pour avancer. Lire le passé pour y puiser des raisons d’avancer n’est pas sans risque.

Pour aujourd'hui un mot sur les chansons populaires dont celle de Saint-Antonin : Jano d'Aymé.

Momméja en a fait une analyse que j'évoquerai plus tard. Il a étudié le folklore globalement comme l'œuvre du peuple debout quand d'autres voulaient l'enfermer dans le passé. Le rapport au folklore est un bon indice du rapport à l'insoumission. Mais bon… pour le moment le document sur Jano d'Aymé à lire. Jean-Paul Damaggio

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