Le baron Baylet sans le rugby

On n’est baron qu’à quelques conditions : contrôle politique du territoire par les élus, les associations, le sport. Dans mon livre sur le baron je n’ai évoqué que le quadrillage électoral du fief mais il y aurait tout un travail à faire quant au contrôle des associations.

En Tarn-et-Garonne on n’est baron que si on contrôle le comité départemental de rugby.

Voilà que les échecs politiques de Jean-Michel Baylet viennent de donner des ailes à ceux qui commençaient à être fatigués, par quarante ans de domination de Valence d’Agen sur ce secteur.

Dernièrement le renouvellement de la        direction du comité départemental était à l’ordre du jour et le président sortant Claude Graniou avait décidé de laisser sa place en soutenant pour lui succéder Jean-Claude Soriano.

La fronde est venue de candidats groupés autour de Michel Ruamps et au dépouillement, surprise, se sont eux les élus. Comme le baron Jean-Michel, face à la défaite annoncée, Jean-Claude Soriano n’a pas présenté sa candidature à la présidence, aussi Michel Ruamps fut donc l'unique option et il est devenu le responsable du comité départemental du rugby. J-P Damaggio

P.S. La Dépêche ne citera pas le nom du successeur voulu par Graniou.

Les 41 élus

Bernard Ailhas, Benoït Albert, Michel Ambal, Thierry Artasona, Rémi-Constant Belrepayre, Christian Betpouey, Nancy Borda, Raphaël Cagnac, Jean-Gilles Carraro, Romain Castan, Amaury Causin, Véronique Courpet, Philippe Cousin, Patrick Dellac, Virginie Deprince, Phlippe Durand, Ludovic Derrua, Dominique Diniz, Amédée Domenech, Hubert Dubois, Carole Ferrié, Bertrand Fraysse, Jean-Jacques Galouye, Jean-François Garrigues, Serge Gros, Patrick Jougla, Béatrice Larroque, Caroline Marcipont, André Marin, Sandrine Marin, Daniel Monget, Jean-Claude Petit, Martine Peyrusse, Jean-Pierre Poinot, Patrick Raguin, Christophe Roudaut, Michel Ruamps, Anne-Marie Santarossa, Sante Santarossa, Alain Serene, Christopge Sicard et Jean-Jacques Verdier.