
Mon premier repas à Saint-Antonin c’était chez les parents d’André, en juin 1971, des personnes charmantes. A ce moment là le fils travaillait encore au Sénégal et la fille était mariée avec un Cubain (ou du moins un noir travaillant à Cuba). La terrasse de leur maison donnait sur l’Aveyron face au fameux roc légendaire. A la retraite, en 1981, André viendra habiter juste à côté, une maison bien aménagée. C’est chez lui que je découvrirai dans les œuvres complètes de Victor Hugo le texte du poète à la gloire du...
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