Bergère méconnu
Jean-Claude Periès, un ami d’Hubert Bergère vient de décider de l’honorer par une publication. Il a rassemblé tout les œuvres de l’artiste qu’il possède et quelques anecdotes.
Pour les œuvres elles permettent de saisir des éléments du vaste talent de cet homme qui n’avait pas un sou.
Pour les anecdotes j’en retiens deux. Sa passion pour Bruniquel dans le cadre de son travail de dessin pour le Musée d’histoire naturelle. Les rencontres à Beauregard avec la sœur du célèbre communiste René Andrieu collectionneur d’œuvres de peintre. « Elle [la sœur] tenait auberge près de la magnifique halle dans la maison familiale, je commandais quatre repas avec «supplément» parfois omelette aux truffes ou foie gras. (…) Après le repas auquel il faisait honneur, évidemment, il était mon invité, il repartait l’après-midi en quête d’autres lieux.»
Après l’effort de Diego Lara à la maison des peintres de Montricoux, Bergère entre ainsi, un peu, dans l’histoire locale. J-P Damaggio
Bergère peintre engagé (quand on demande l'article avec google il n'y a pas le dessin de Denoyer qui est présent, par contre si on demande l'article avec le blog il y est !)
Sur La Dépêche, je n'ai pas retrouvé l'article consacré au livre mais j’avais noté :
A Montauban on peut découvrir au cimetière urbain (rue de l'égalité) la tombe du dernier président de la république espagnole, Manuel Azana (section-7 n°9), celles aussi des peintres François Desnoyer (trapèze-J extérieur-n°2), d'Hubert Bergère (Trapèze-J -extérieur-11), mais aussi du Jazzman Hugues Panassié (section-15 n°90), d'Augustin Quercy, du Chanoine Belloc, d'Antonin Perbosc.
Sur le dessin de l'afffiche on reconnaît Marcel Lenoir en habits de peintre.