Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Vie de La Brochure
4 avril 2020

Correspondance Emile Pouvillon-Nadine Duvignau

Souvenirs-sur-Emile-Pouvillon

CORRESPONDANCE_De_Pouvillon

J’ai d’abord cru que Pouvillon était un bucolique et un mystique, deux caractéristiques qui me tenaient loin de lui. Puis son récit de la mort de l’abbé Marcellin m’a convaincu qu’il était beaucoup plus que bucolique et mystique, c’était aussi un très grand humaniste.

En retrouvant cette correspondance publiée par la Revue des deux mondes en 1910, quel personnage !

Je ne sais si elle a été publiée en livre comme le prévoyait un article du Figaro en 1912 mais je l’a reprend ici.

La présentation est signée N. D. mais vu le contenu des lettres il n’était pas difficile de comprendre qu’il s’agissait de Nadine Duvignau (née Bon, 11 juillet 1865 Rochefort - 29 février 1938), la fille de Marie la sœur de Pierre Loti et ses deux filles avaient les surnoms évoqués dans les lettres : Juliette (dite "Tototte", 1886-1928, épouse Dutreix) et Geneviève (dite "Dizé", 1887-1953, épouse de Guermarquer). Elle avait comme surnom Ninet ou Ninette. Pierre Loti l’a traitée comme un homme avec le surnom de Ninet.

pouvillon retrouvé

Elle s’était mariée à Marennes le 4 avril 1885 avec Gustave, Léon, Paul, Duvignau né à Paris (11è).

 

Sur Pierre Loti en lien avec les lettres : le 21 mai 1891, à 42 ans, il est élu à l'Académie française au fauteuil 13, au sixième tour de scrutin par 18 voix sur 35 votants contre Émile Zola en remplacement d'Octave

La mère de N. D., VIAUD Marie (épouse BON) était née le 1er juin 1831, à Rochefort-sur-Mer, décédée le 21 septembre 1908, à Rochefort-sur-Mer.

Peintre de portraits et de miniatures, Marie était la sœur aînée de Julien Viaud, alias Pierre Loti. Elle tenait de son père des dispositions artistiques de tout premier ordre ; elle chantait agréablement et avait un goût très affirmé pour la peinture. Si Julien (P. Loti), avait nettement pris l’avantage sur son père dans l’art de l’écriture, Marie devait aussi le surpasser dans l’art du dessin.

 

Les lettres publiées :

Montauban, 25 mai 1891.

1891

Capdeville, 1894.

Paris, mai 1895.

Capdeville, 30 juillet 1896.

Capdeville, 9 octobre 1896.

Montauban, 13 octobre 1896.

Capdeville, 1 octobre 1898.

Paris, 1898.

Paris, 3 janvier 1899

Montauban, 9 avril 1900.

Capdeville, 14 septembre 1900.

Capdeville, 1900.

Montauban, 13 septembre 1901

Montauban, 8 février 1902.

Montauban, 1902.

Montauban, 4 août 1902.

Jacob-Bellecombette, Dimanche (automne 1903).

Jacob, 1903

Montauban, samedi 1er novembre 1903.

Montauban, 1904.

Montauban, 24 novembre 1904.

Montauban, 1905.

Montauban, 10 mars 1905.

Montauban, 28 juillet 1905.

Publicité
Publicité
Commentaires
Vie de La Brochure
Publicité
Archives
Newsletter
Derniers commentaires
Visiteurs
Depuis la création 1 022 524
Publicité