Les vieux métiers à Saint-Antonin

Visite en 1983 dans le cadre de la semaine occitan.

Rue droite, rue populaire dont la visite est faite par une habitante du Bessarel (le nom du quartier).

Le bourrelier Liou : harnais de chevaux par exemple.

Le marchand de cycle Laffargue (la maison de M. Julien). Il ne faisait que monter les cycles en question et il n’était pas très vaillant au dire d’une personne.

Le fabricant de chaussures en cuir si résistant qu’elles duraient une vie et qu’elles étaient dans le testament.

La petite boîte pour allumer les réverbères avec encore la poulie présente (il y en avait 14 ou 15 pour la ville et on économisait le pétrole).

Le menuisier, grand-père de cette figure de Saint-Antonin qui s’appelait Pierre Bayrou.

Sur la place des capucines, la poupino qui vendait des confettis les jours de fête et qui sur la place pesait avec une importante romaine.

Sur la même place deux repasseuses.

 Avant la rue droite, la maison du tanneur avec deux sortes de bac : le bac à chaux et à eau. Il y avait le boulanger et le meunier. Tout cela grâce au canal dérivé de la Bonnette.

Dans la rue de la Pélisserie on vendait des fourrures avec un sabotier sur le coin. Il y avait un appareil pour ferrer les bœufs ou chevaux.

 On est passé devant l’usine rodolausse.

Sur les bords de l’Aveyron, les lavandières, les pêcheurs et les tireurs de sable.

Ces métiers racontés par une personne qui les as vus en activité ont toute leur saveur que vraisemblablement seule la langue occitane peut rendre.

La lavandière qui papote.

Le meunier qui triche sur la mesure et qui s’annonce par un coup de fouet.

Le boulanger si important : 6 sur la ville.

Le tictac du moulin.

La puanteur des tanneurs était acceptée parce qu’il était dit qu’elle était très saine.

La qualité du tailleur de pierre avec la sculpture toujours là pour le souvenir.

La qualité du charron et du forgeron. Ils arrivaient à mettre en place sans la moindre erreur des roues et pourtant il fallait ajuster les rayons, les moyeux et le tour en fer sur la roue. JPD