Prologue au livre de Vazquez Montalban
Sur la photo : Ángeles Caso, José Saramago, Charo López and Rosa Regás
Rosa Regás a écrit le prologue du livre de Vazquez Montalban dont j’ai déjà donné l’épilogue.
J’en donne une traduction qui m’a fait beaucoup souffrir à cause d’une construction de phrases à rallonges.
Je donne aussi la version en espagnol.
Je ne connais pas Rosa Regás mais j’ai tenu à présenter son texte car il est révélateur de l’effet Montalban qu’il est impossible de mesurer en France, où on retient surtout son détective Pepe Carvalho.
Comme tout le travail de MVM, ce livre concerne l’Europe mais il ne sera jamais traduit non qu’il manque de traducteurs mais parce qu’aucune maison d’édition ne se lancera dans un tel projet.
Je vais donc continuer de l’évoquer pour que chacun mesure combien des propos d’hier peuvent nous aider aujourd’hui, non qu’ils soient des prophéties, mais des analyses stimulantes, et une méthode de circonstance.
Rosa Regás pour son prologue reprend un texte de 1994 car il est à ses yeux et aux miens, resté d’actualité. C’était au moment où suite à un problème cardiaque MVM a dû se faire soigner et que fait-il de cette expérience ? Un nouveau roman qui s’appellera en espagnol El balneario (Les Thermes). Ne jamais se laisser abattre ! JPD