Peintures au Musée de Digne
René Merle conseille de ne pas rater la salle des peintures au Musée Gassendi de Digne. Vu les conditions sanitaires la visite commence obligatoirement par le dernier étage (montée par l'ascenseur) pour ensuite aller en descendant. Ce qui fait que les peintures apparaissant non pas à la fin d’une visite avec la fatigue qui s’en suit vu nos âges, mais au début et elles ont totalement attiré notre regard.
Je commence par cette présentation de la place de Digne (1888) par Etienne Martin.
C'est l'hôtel (devenu location d'appartements) où nous résidions. Avec sur la droite un café qui est toujours là. Cette scène de la vie m'a incité à prendre und étail :
Le choix du détail est splendide chacun des personnages ayant sa particularité. Notons le chapeau de la femme qui s'occupe des enfants les plus jeunes (l'un semble râler). On voudrait avoir un agrandissement des chaussures.
Et voici un intérieur de café (1901) avec détail, d’Eugène Martel (1869-1947), un peintre de l’ombre contre les peintres de la lumière. Quelque chose de Daumier.
Un paysage plus bucolique dont je n’ai pas relevé l’auteur. J-P Damaggio