Terres des Confluences le 28 juillet

Nouveau conseil communautaire globalement consensuel qui s’est tenu à Lavilledieu-du-Temple dans une salle des fêtes qui m’a rappelé mes années de jeunesse quand le lieu était surtout le lieu de bals hivernaux.

En ce 28 juillet, il fallait d’abord désigner les trois membres du comité technique paritaire qui discute avec les trois représentants du personnel. Le trio Briois-Garguy-Lafont est désigné à la quasi unanimité, les deux élues de Moissac ayant décidé de s’abstenir.

Les trois mêmes personnes sont proposées pour être membres du Comité d’Hygiène et de Sécurité. Là, les minoritaires de Moissac décident de se distinguer. Marie Cavalié propose sa candidature. Le vote se fait toujours ainsi : Qui est contre ? qui s’abstient ? Quand le président demande qui est contre, peu de doigts se lèvent. Il insiste et finalement quelques doigts se lèvent. En fait beaucoup se réservaient pour l’abstention. Résultat- 24 contre et 23 abstentions. Il n’a même pas été demandé : qui est pour ? Seulement les 2 de Moissac ? Nous avons un total de 49 pour normalement 62 membres mais il y a beaucoup d'absents. A la tribune, tout le monde n’était pas d’accord. Certains ont voté contre et d’autres abstention. L’abstention ne remettait pas en cause l’élection inévitable des trois noms proposés mais apportait une différence.

Pour les suppléants, dans les deux cas : Mme Delzers, M. Bouché et Mme Vaisse-Delbove.

Il est ensuite question d’un animateur territorial, puis d’une mutualisation (un employé de Moissac qui passe à Castelsarrasin et qui est utilisé par l’intercommunalité) et tout se déroule comme prévu.

Enfin la parole à quelqu’un d’autre ! M. Garguy car la question est financière. Elle me rappelle mon suivi des premières réunions de l’interco à Saint-Nicolas, une affaire de péréquation qui comme le dira le président est un peu complexe mais on continue comme avant et c’est l’unanimité. En fait tout continue comme avant et je précise que tout a été préparé auparavant par un bureau communautaire.

La parole est ensuite à M. Bésiers car il est question d’aides aux entreprises suite au coronavirus. Un dégrèvement d’impôts d’abord, des subventions ensuite.

Viendra ensuite une question d’environnement et donc la parole est à M. Samain, le vice-président en charge du dossier. L’interco est en retard sur le dossier d’après l’Etat donc il faut passer à la vitesse supérieure. Il s’agit d’étudier les risques d’inondation et en effet Terres des Confluences est fortement concerné. Il faut engager des études et analyser les risques. Il est fait appel à un bureau d’études. Je n’ai pas noté le nom mais nous l’avons croisé au sujet de la LGV. Pour financer il y a des aides de l’Etat, de la Région, du département. Hugues Samain indique en passant qu’il n’est pas un fana des bureaux d’études mais l’interco est obligée de passer par là. Pour l’évaluation des risques 100 000 euros. Je quitte la séance à ce moment là. Je ne sais si elle sera évoquée dans la presse locale car les journalistes habituels étaient absents. Dans le public j’ai cru reconnaître un candidat au poste de sénateur avec ses amis. J-P Damaggio

P.S. Je pourrais vous renvoyer au site internet de Terres des Confluences mais en cliquant sur le lien vous pouvez aller vérifier qu’il n’y a pas les délibérations des Conseils communautaires comme c’est le cas le plus souvent (à ce jour il n’y a même pas les élus !).