Ma bibliothèque Malerba
Voici ma bibliothèque Luigi Malerba :
La planète bleue, Luigi Malerba Fayard, 1989. Il m’est arrivé de correspondre avec le traducteur Roger Salomon qui était un grand spécialiste, de Gianni Rodari
Les pierres volantes, Luigi Malerba, Fayard, 1994. même traducteur
Le pietre volanti, Luigi Malerba, Rissoli (version italienne 1992)
C’est la faute à Proust, Luigi Malerba Roberft Laffont, 1988, traduites par Michel Breitman
Les poules pensives, avec dessins de Adrianno Zannino, Le Seuil 1980
Quatre types de livres, quatre approches de l'écrivain qui aimait dire que quand, à l'école, on lui disait d'être lui-même, lui, il pensait toujours être un autre, et toujours un autre.
J'ai même acheté la version italienne des pierres volantes pour mieux le lire.
Il s'appelait Luigi Bonardi, et il est né le 11 novembre 1927 à Berceto dans la province de Parme. Il a vécu entre Rome et Orvieto, ville magnifique. Il publie son premier livre seulement à quarante ans mais très vote il a du succès en devenant le premier lauréat du prix Médicis étranger en 1970 pour son roman Le Saut de la mort.
Un homme de l'Ombrie à l'humour décapant et à la conscience sociale aigüe. Il a été cofondateur du gruppo 63 qui naviguait entre marxisme et structuralisme.
Un bel article en italien le présente en 2014 à partir des propos de son épouse. J-P Damaggio