Jasmin dans le Gers en 1850
De 1985 à 1995 j’ai passé mes vacances d’été dans les Archives départementales du sud-ouest pour y étudier la Seconde république et le coup d’état des 1851.
Il m’arriva seulement deux fois d’aller dans celles du Gers, les anciennes en centre ville puis les nouvelles. J’en ai fait le compte-rendu à mon ami René Merle dont l’aide fut constante dans cette recherche qui a abouti au livre, 1851, La dictature à la française ?
Comme je prépare une intervention sur Mary-Lafon précurseur de l’occitanisme, j’ai revu le compte-rendu en question que je reprends ici car, plus que je m’en souvenais, il témoigne du lien intime entre Jasmin et les pouvoirs en place, d’où cette expression : «médias, mes dieux» car dès cette époque le succès de Jasmin repose sur l’aide des médias officiels alors que Mary-Lafon y a eu accès par lui-même mais pas par les éloges. J-P Damaggio